Le 4 février D’autres choix pour le progrès social

Quand les vieilles recettes fabriquent les mêmes catastrophes 

Journée de grève et d’action le 4 février 2021

La gestion de la crise sanitaire et ses conséquences n’en finissent pas de plonger la population dans le désarroi. Cette situation est accentuée par des années de politiques d’austérité aux conséquences sociales désastreuses.

Pourtant pas de changement de cap gouvernemental et une seule volonté affichée : soutenir les entreprises avec les millions du plan de relance et rien pour les salarié·es.

La pandémie n’a pas modifié le capitalisme, elle le conforte : plans de suppressions d’emplois, multiplication de fermetures d’entreprises ou restructurations, réduction des services publics… Le tout soutenu par les dispositions de la Loi Travail.

Le gouvernement n’est pas avare de belles paroles à l’égard des agent·es de la Fonction publique, dévoué·es face à la crise sanitaire. Mais aucune reconnaissance salariale.

Il compromet aussi l’avenir et abime la jeunesse. 47 % des jeunes s’inquiètent pour leur emploi, plus de 20% sont au chômage et la précarité explose. Le gouvernement est responsable de cette situation en refusant de recruter des enseignant·es-chercheur·euses pour multiplier les dédoublements à l’université. Cela permettrait de maintenir un lien physique et social pour sauver ces étudiant·es de la détresse.

Il y a urgence. Exigeons une autre politique qui réponde aux besoins de toutes et tous, « quoiqu’il en coûte ».

 

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